La santé dans l'assiette

Position du problème:

Extrait de la Revue des deux mondes, 1900

L'excès est inhérent à notre civilisation, alors?
Reprenons dans l'ordre...

Manger, se nourrir, s'alimenter, boire, ingurgiter, avaler, saliver
Appétit, palatabilité, satiété, boulimie, anorexie, dyssorexie
Quelques îlots de rationalité:

Apéritif (cliquez pour la définition)


Certaines plantes ou herbes peuvent être utilisées afin de stimuler l`appétit.
Les herbes et les plantes médicinales dites apéritives servent surtout lorsqu`il y a un manque d`appétit ou si il y a tout bonnement refus de s`alimenter.
Ces plantes médicinales peuvent même aider dans les cas d`anorexie.
Etant donné que les plantes ont plusieurs propriétés il est facile de trouver une plante susceptible de nous aider.
Plusieurs plantes ont des propriétés apéritives.


absynthefumetèrepetite 
centaurée
angéliquegénépipissenlit
aunéegentianequassie
bruyèregermandréeracine 
de fenouil
camomillegirofleracine 
de persil
célerihoublonraifort
cerfeuillaurierroquette
chardon bénitmarrube blancsafran
chardon Mariemenyanthesaponaire
écorce d`orange amermoutarde blanchesauge
écorce de saulemuscadesemence 
de carotte
estragonoignonserpolet
eucalyptusoriganthym
eupatoireoseillevéronique 
officinale
feuille d`achepervencheverveine 
officinale
fragon


Nous utilisons déjà des plantes médicinales sans le savoir.  Les oignons font parti de la préparation de nos repas et souvent on retrouve des épices que nous utilisons pour arômatiser nos plats.
Certaines plantes entre en contradiction avec certain médicament.
Consultez d`abord votre médecin ou votre pharmacien herboriste.





 Sirop des cinq racines (cliquez)







Comment prévenir ou soigner les troubles digestifs par les plantes?

Les troubles de la digestion peuvent avoir des causes très diverses : acidité stomacale, aérophagie, allergie à la nourriture, atonie, calculs biliaires, colique, congestion du foie, constipation, diarrhée, gastro-entérite. Il est d’abord important de bien repérer la cause exacte de votre problème. Vous pourrez ensuite privilégier un certain nombre d’aliments très courants pour prévenir, soulager ou même guérir le trouble intestinal qui perturbe votre vie intellectuelle.


Chaque jour, buvez entre 1 et 3 verres de jus de chou ou encore de jus de chou et de carotte fraîchement extrait. Ces deux plantes sont de véritables bienfaits pour l’intestin.

Le cerfeuil ne sert pas seulement à épicer. Vous pouvez aussi vos en servir comme plante digestive. Il suffit de faire infuser une cuillerée de feuilles séchées dans une tasse d’eau bouillante.

L’artichaut est excellent pur votre système digestif. Mangez-en souvent et utilisez l’eau de cuisson dans les potages (à utiliser immédiatement).

L’orge facilite la digestion et combat l’entérite, la dysenterie et les diarrhées. Prenez-en sous forme de décoction à raison de 20 grammes d’orge perlé par litre d’eau, ou sous forme de plat de céréales, de soupe ou de bouillie.

La myrtille sera utilisée avec succès pour combattre la putréfaction intestinale, la diarrhée, la constipation et les entérites. Mangez les baies bien mûres, telles quelles ou sous forme de gelée ou de marmelade. Ou encore, préparez une décoction en faisant bouillir 1 cuillère à soupe par tasse d’eau. Prenez entre 2 à 6 tasses par jour.

Faites une cure de pommes de deux jours pour traiter les dysenteries, les dyspepsies et les coliques muqueuses. Vous pourrez également préparer une infusion de pommes : coupez 3 fruits en rondelles, faites bouillir 15 minutes dans un litre d’eau. Buvez à volonté.

Consommez régulièrement des aliments lacto-fermenté comme la choucroute. En plus d’être très facile à digérer et plein de vitamines, ils font un travail merveilleux au niveau de votre flore intestinale.

Il y’ a certaines plantes médicinale réputées depuis toujours pour prévenir ou soulager tous les types de problèmes digestifs :

L’angélique soigne les douleurs et les gonflements d’estomac ; C’est une plante à la fois apéritive et digestive. Pour les gonflements d’estomac, prenez-en 3 à 4 infusions par jour.

L’anis en plus de ses vertus apéritives facilite la digestion et élimine les gaz. Il permet aussi de calmer les coliques venteuses, les contractions des organes digestifs. Sans compter qu’il chasse les palpitations, les vertiges et les sensations d’oppression après les repas.

Si vous fréquentez les restaurants indiens, vous avez sûrement déjà essayé ce petit mélange qu’on vous sert à la fin du repas pour mieux digérer. C’est très efficace et l’anis en est un des principaux ingrédients.

Contre les fermentations intestinales, vous prendrez une infusion de pissenlit à raison de 50 g de racines et de feuilles par litre d’eau. Prenez 3 tasses par jour avant les repas.
En plus d’être délicieuse et d’avoir certains effets stimulants comme le thé vert, la menthe poivrée se révélera très efficace pour faciliter la digestion.

Enfin, la camomille est excellente comme plante apéritive, digestive, sédative et tonique. Elle est très recommandée pour soigner les spasmes gastro-intestinaux et les crampes d’estomac. Prenez-en aussi pour chasser les gaz.

L’auto-massage vous permettra aussi de stimuler les organes impliqués dans la digestion. De lentes et profondes pressions au niveau du ventre ou du bas-ventre, selon le cas, procure un soulagement rapide. Dès que vous entendez quelques gargouillis, la partie est gagnée.







Curcuma, muscade, cardamome... sur la route des épices



Epicé ne veut pas dire fort, mais la confusion persiste. Les épices offrent une variété de saveurs douces à piquantes, fruitées souvent anisées, citronnées pour certaines, amères ou sucrées pour d’autres, qui présente l’avantage de plaire à tous les goûts. Rapportées d’Orient lors d’expéditions légendaires, la cardamome, la badiane, la noix de muscade ou le curcuma ont depuis longtemps permis de préparer de savantes potions thérapeutiques et de parfumer notre cuisine. En plus d’apporter du goût et des couleurs à vos aliments, utilisez les épices pour réduire la quantité de sel et de sucre dans vos plats quotidiens. Une pincée de cannelle dans une compote ou une tarte remplace facilement le sucre. Cette polyvalence est liée à leur qualité gustative capable de modifier le goût. Les épices permettent également de diminuer l’usage de matières grasses dans les préparations culinaires.
...




Mais encore faut-il choisir les mieux adaptées à nos besoins, et savoir les utiliser correctement. Face à une offre pléthorique, notamment en magasin bio, un éclairage nutritionnel s’impose.

D’un côté, on nous vante les bienfaits des acides gras oméga 3 ou les multiples vertus de l’huile d’olive. De l’autre, on nous met en garde contre les graisses saturées, les huiles végétales hydrogénées, l’excès d’oméga 6, des acides gras pourtant insaturés. Dans l’ensemble, les matières grasses ont globalement mauvaise presse. Elles remplissent pourtant des fonctions vitales dans notre organisme avec, au premier chef, la constitution d’une réserve très dense d’énergie. Les lipides concentrent 9 kilocalories par gramme, plus du double des glucides. De plus, ils servent à la fabrication des phospholipides qui forment la membrane des cellules et leur confèrent leur élasticité. Les graisses participent aussi à la fabrication d’hormones, au transport et à l’absorption des vitamines liposolubles (A, D, E, K), à la thermorégulation (elles constituent un isolant corporel), à l’immunité (elles protègent les cellules)… Un ensemble d’actions qu’il serait dommage, voire dangereux, d’ignorer.
 
                                                               Phytothérapie : les huiles végétales

Consommer plus d’huile, c’est bon pour la santé

L’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) a publié en mars dernier une « actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras » ; l’objectif de cet avis est de contribuer à la prévention des grands fléaux de santé actuels : diabète, obésité, maladies cardiovasculaires, mais aussi cancers du sein et du côlon, pathologies neuropsychiatriques et dégénérescence maculaire liée à l’âge. On peut le résumer par une règle assez simple : pour être en bonne santé, il n’est pas nécessaire de réduire sa consommation de matières grasses – qui doit représenter 35 à 40 % de l’apport énergétique –, au contraire, il faut faire la part belle aux huiles végétales en en diversifiant les sources. Dans le détail, les nouveaux chiffres recommandés par l’AFSSA sont difficiles à appliquer : comment s’assurer que son alimentation comportera 4 % d’oméga 6, 1 % d’oméga 3, et 15 à 20 % d’oméga 9 ?

Lin, colza, noix ou cameline : retrouver l’équilibre

Concentrons-nous donc d’abord sur les fameux oméga 3On sait depuis plusieurs années que le manque de ces précieux acides gras augmente le risque d’infarctus, de cancer et de maladie d’Alzhei­mer. De récentes recherches ont montré que cette carence entraînait aussi obésité et diabète de type 2. L’huile de lin est l’un des corps gras d’origine végétale les plus intéressants pour  leur teneur en oméga 3. Elle partage cette qualité avec celles tirées de la noix, du colza ou de la cameline. Aujourd’hui, ces huiles nous sont vraiment indispensables car les oméga 3 sont non seulement déficients dans la plupart des aliments, mais en plus, ils sont concurrencés par d’autres acides gras qui sont devenus abondants dans la viande, les œufs et le lait que nous consommons : il s’agit des oméga 6, très présents dans l’alimentation des animaux d’élevage, essentiellement composée de maïs et de soja. Dans notre organisme, une seule enzyme a pour rôle de métaboliser ces deux types d’acides gras, et lors­qu’elle se trouve saturée d’oméga 6, elle ne peut plus se consacrer aux autres oméga…

L’irremplaçable huile d’olive

Les huiles de tournesol, de carthame et de sésame sont relativement riches en oméga 6. Il faut donc les consommer avec modération, et notamment celle de tournesol qui représente pourtant encore la moitié des ventes d’huile alimentaire en France. On lui préférera l’huile d’olive, neutre pour ce qui est du rapport oméga 3/oméga 6. Elle est en effet constituée à plus de 70 % d’acide oléique, un acide gras mono-insaturé appelé aussi oméga 9. On découvre toujours plus de vertus à l’huile d’olive : en plus de protéger contre les grands fléaux actuels (maladies cardiovasculaires, cancers, etc.), elle protège l’estomac des infections, diminue les phénomènes inflammatoires et contient des composés phénoliques anti­oxydants. L’huile d’olive est l’une des premières huiles végétales à avoir été utilisée par l’homme. À froid, elle est irremplaçable dans les salades et pour rehausser la saveur d’un plat. Pour la cuisson, l’huile d’olive supporte des températures jusqu’à 210 °C. Enfin, elle est dotée de nombreuses vertus médicinales : par exemple, une cuiller à soupe d’huile d’olive, le matin à jeun, aide à réguler le transit intestinal et favorise la sécrétion de bile.

Des vitamines à préserver

Même si les huiles végétales contiennent environ 99 % de lipides, elles apportent aussi des vitamines. En l’occurrence, elles constituent une bonne source de vitamine E, avec en tête l’huile de germe de blé, suivie des huiles d’argan, de tournesol et de colza. Dans la cellule végétale, cette vitamine empêche l’oxydation (le rancissement) des lipides. En santé humaine, il s’agit d’un antioxydant majeur qui protège notamment la paroi des globules rouges et blancs, et participe donc à l’immunité. L’huile de noix et l’huile de tournesol apportent aussi des vitamines du groupe B. Or ces précieux nutriments se trouvent uniquement dans les huiles obtenues par pression à froid, suivie d’un simple filtrage. Ainsi, il faut bien lire les étiquettes et y rechercher les indications « huile vierge » et « pressée à froid », ou mieux « huile vierge extra » et « première pression à froid».
Bien avant que l’AFSSA ne prône la consommation d’une diversité d’huiles végétales, la filière bio a commencé à en proposer une offre abondante : argan, cameline, colza, carthame, chanvre, noisette, noix, olive, pépins de courge, sésame, soja, pour ne citer que les plus courants, et le lin depuis quelques semaines. Nous sommes cependant nombreux à n’employer que l’huile d’olive, excellente pour la santé, mais qui ne doit pas être utilisée exclusivement car elle est déficiente en oméga 3. « Je recommande généralement le recours aux mélanges », avoue la naturopathe Claudine Richard qui fait référence aux huiles composées qu’on trouve dans le commerce. « De cette manière, je suis certaine que mes patients arriveront à un certain équilibre. » Il faut aussi considérer la grande variété des huiles comme une véritable invitation au voyage, dans le temps ou dans l’espace : selon leur provenance, elles apporteront exotisme ou originalité à votre cuisine.

• « Les huiles végétales pour votre santé », de Martina Kr˘cm´ar. Éd. Dangles, 416 p., 19,50 €.




Biscuits apéro:


Prenez un disque (ou un carré) de pâte feuilletée achetée au rayon frais.

Etalez-la sur le plan de travail et, sur la moitié de la pâte, saupoudrez , par exemple, poivre, thym, graines de lin, et ensuite parmesan sec rapé. (mais vous pouvez mettre d'autres ingédients : cardamome, graines de pavot, de sésame, etc...mais toujours du parmesan!)
Refermez la pâte en la pliant en deux et pressez bien pour que les deux épaisseurs collent un peu.
Puis, découpez des lamelles de 2 cm de large sur une dizaine de cm de long.
Torsadez-les chacune sur elles-même.
Poser sur un papier sulfurisé au four à 180° et laissez cuire une bonne dizaine de minutes jusqu'à ce qu'elles soient légèrement dorées.
Laissez refroidir et servez à l'apéro.


Sablés au parmesan et aux olives noires
 Pour 6 personnes:
- 175 gr de parmesan rapé
- 60 gr d'olives noires dénoyautées, coupées en très petits morceaux
- 125 gr de farine
- 125 de beurre ramolli à température ambiante
- Sel, poivre



Mélangez le beurre en parcelles avec le parmesan, la farine, les olives, une petite pincée de sel et poivre.

Faites une boule avec la pâte et mettre 1h au réfrigérateur.

Ensuite, préchauffez le four Th 6 (180 °)

Etalez la pâte au rouleau sur une épaisseur de 1 cm, sur le plan de travail fariné.

Découpez la pâte avec un petit verre à liqueur ou un emporte-pièce.

Mettez au four, sur du papier sulfurisé.
Enfournez et faites cuire 15 min. Les sablés doivent être dorés.



Samoussas à la feta et à l'aneth

Il vous faut un paquet de feuilles de bricks
1 bloc de feta
1 oeuf
Aneth
Poivre
Prendre un saladier. Emietter le bloc de feta dedans. Ajouter l'oeuf, l'aneth (selon votre gout) et un peu de poivre (pas la peine de saler car la feta l'est déjà beaucoup). On peut rajouter un peu de gruyère râpé si l'on veut, ça s'associe très bien.
 Mélanger le tout.
Prendre une cuillère à café et remplir la feuille de brick.
pliage de la feuille de brick


Pour un apéritif original:


 Allez cueillir dans votre jardin : 
achillée millefeuille, 
pâquerettes, 
violettes, 
ortie, 
lierre terrestre,
 etc; 
j'ai suivi une recette de pâte qui était un peu sèche, je conseille donc la même recette avec une pâte feuilletée!
Etalez votre pâte et coupez la en quatre, 

passez au pinceau de l'oeuf battu...
 puis étalez vos feuilles et fleurs







une fois les plantes étalées sur la pâtes, 

passez au pinceau de l'oeuf sur la partie qui va recouvrir la garniture, 
passez un coup de rouleau à pâtisserie pour bien tasser...



ensuite passez une nouvelle fois de l'oeuf sur la pâte 

et saupoudrez de graines de votre choix, 
avec ou non du comté. 
Repassez encore le rouleau pour que les graines ne tombent pas.



Découpez en petits morceaux et mettez au four 15 minutes...



et dégustez...



Voici la liste des différents ingrédients que j'ai utilisés : lierre terrestre, millefeuille, pâquerettes, violettes feuilles et fleurs, thym, romarin, souci, lavande, ortie, graines de sésame, tournesol, lin, pépins de courge.









Chausson au fromage miel et thym
(Source: Ptichef.com)









Du nouveau à l’apéro : des dips au fromage blanc et aux huiles essentielles !

(Source: Mon aromathérapie, le Blog de Pranarôm)

Des DIPS ? C’est quoi ?

Les « dips » nous viennent tout droit des Amériques, et plus précisément du Mexique, où l’on a l’habitude de tremper un légume cru, du pain ou un nacho (une chips au maïs) dans une sauce… Vous connaissez tous le guacamole ? Et bien c’est un dip…                                                              Le mot vient de l’anglais « to dip » qui veut dire « tremper »…

Pour faire impression à l’apéro, je vous propose un dip très basses calories, à base de fromage blanc, qui se mélange très bien aux huiles essentielles… 
Le jeu consiste à aromatiser du fromage blanc avec une ou deux gouttes d’huile essentielle et à le rendre plus onctueux avec un filament d’huile végétale… 
Cela donne une sauce épaisse, fraîche et goûteuse, dans laquelle on trempera des carottes crues finement coupées, des bâtons de céleri, du chou fleur ou… des nachos nature pour les gourmands 



Ma recette de dip au carvi et à la coriandre (pour un apéro à 4 ou plus ) :
- 5 grosses cuillères à soupe de fromage blanc bio pas trop maigre (20% ou 40%)
- 1 cuillère à café d’huile d’argan, ou d'olive, bio
- 1 goutte d’huile essentielle de carvi bio
- 1 goutte d’huile essentielle d’anis vert bio
- 1 goutte d’huile essentielle de coriandre bio
- 1 pincée d’ail bio frais (1 demi gousse pressée suffit)
- feuilles de coriandre bio finement hâchées
- sel et poivre

dip 2
Mélangez le fromage, l’ail et l’huile d’argan dans un petit saladier. Salez et poivrez. Ajoutez les trois gouttes d’huiles essentielles : attention pas une de plus car sinon c’est foutu ! (trop fort en goût...) Ajoutez la coriandre (facultatif) . Mélangez encore délicatement. Décorez avec le reste de la coriandre fraîche et servez dans de jolis petits bols à côté des légumes coupés ou des nachos.
dip carvanis
Vous ne connaissiez pas le carvi ? C’est une graine issue de la plante « carum carvi » aussi appelée anis des prés ou cumin des prés. Cette plante donne une huile essentielle digestive très intéressante au goût anisé.
Vous pouvez aussi faire cette recette avec d’autres huiles essentielles en suivant la même démarche :
- PLUS CHAUD : cumin, coriandre et poivre noir + huile végétale de macadamia au lieu de l’argan
- PLUS SUCRE (pour tremper des biscuits spéculoos par exemple)  : orange douce, citron et lime + sucre blanc et huile d’olive
etc… 
Votre créativité est mise à l’épreuve ! Bon appétit !




Salade croquante (cliquez)








Bouchées de haricots rouges tex mex:



Bouchées de haricots tex-mex

Difficulté
Facile
Temps
+ de 30 minutes
Les indications santé
Faible en gras
Faible en sel
Végétarien
Ingrédients

6tortillas de grand format
1 conserve de 19 onces    haricots rouges, noirs ou pinto, rincés et égouttés540 ml
1 tassesalsa avec morceaux du commerce (« medium »)250 ml
½ c. à thépoudre de chili (facultatif)2 ml
1 tassefromage cheddar ou mozzarella râpé, faible en gras250 ml
¼ tassecoriandre fraîche, hachée50 ml
crème fraîche  (facultatif)

Préparation

  • Préchauffer le four à 350 °F (180 °C).
  • Avec un emporte-pièce de 10 cm ou un verre, couper 4 cercles dans chacune des tortillas.
  • Dans un moule à muffins, presser un rond de tortilla dans chacun des compartiments. Si la tortilla n’est pas assez malléable, l’humecter avec un peu d’eau sur un des côtés.
  • Mettre au four de 12 à 15 minutes, jusqu’à ce que les tortillas soient dorées et croustillantes.
  • Pendant ce temps, mélanger les haricots, la salsa, la poudre de chili (facultatif), le fromage râpé et la coriandre dans un bol moyen.
  • Mettre environ de 1 ½ à 2 c. à soupe (de 20 ml à 30 ml) du mélange de haricots dans les moules de tortillas.
  • Déposer les tortillas garnies sur une plaque et remettre au four de 8 à 10 minutes.
  • Servir chaud avec de la crème fraîche (facultatif).
  • Les moules de tortillas peuvent être faits à l’avance et conservés dans un récipient hermétique plusieurs jours.
  • Vous pouvez éliminer jusqu’à 50 % du sel contenu dans les haricots en conserve en les rinçant abondamment à l’eau froide.
Valeurs nutritives
Pour 1 bouchée garnie (30 g)

Teneurs
% AJR
Calories 94
Lipides 2 g
3 %
    saturés 1,0 g
    + trans 0 g
5 %
Cholestérol 3 mg
Sodium 258 mg
11 %
Glucides 14 g
5 %
    Fibres 2 g
8 %
Protéines 4 g
Potassium 87 mg
2 %
Vitamine C 0 mg
0 %
Calcium 49 mg
4 %
Fer 1 mg
7 %
Folates 51 mcg
23 %




Salade de pastèque et roquette au chèvre

 Une salade très colorée et insolite, idéale pour une chaude journée estivale.
             

2 portions
Préparation 10 min
200 calories par portion             




Ingrédients
1 bouquet roquette, lavée et égouttée   100 g
1 c. à soupe Vinaigrette Classique (Recette) 15 mL
  sel au goût    
  poivre au goût    
460 g pastèque, coupé en cubes
60 g fromage de chèvre

Méthode

  1. Laver soigneusement la roquette pour éliminer toute trace de terre et bien l'égoutter. La mettre dans un bol, y ajouter la Vinaigrette Classique, saler et poivrer. Touiller la roquette, puis la distribuer sur les assiettes individuelles.
  2. Couper la pastèque en cubes et disposer ceux-ci sur le lit de roquette. Poivrer généreusement. Couper le fromage de chèvre en tranches et disposer sur les assiettes. Servir.

Portions du Guide alimentaire canadien

1 portion de cette recette équivaut à:
Légumes et fruits: portions
Produits céréaliers: 0 portion
Lait et substituts: ¼ portion
Viandes et substituts: 0 portion





Soupe de tomates, pois chiches et origan:










Type de recette: Entrée
Nombre de parts: 4
Temps de préparation: 20 Minute(s)
Temps de cuisson: 50 Minute(s)
Difficulté: Facile


Ingrédients:

800 gr de tomates mûres
2 beaux blancs de poireaux
8 gousses d'ail
1 boite de pois chiches
2 cuillères à soupe de concentré de tomate
1 tablette de bouillon de légumes lyophilisé
4 cuillères à soupe d'huile d'olive
2 cuillères à soupe d'origan séché
sel, poivre
Préparation:

Préchauffez le four à 210°. Rincez les tomates, enlevez-leur le pédoncule, coupez-les en deux et rangez-les dans un plat à four. Pelez les gousses d'ail, enlevez les germes et émincez-les sur les tomates. Ajoutez l'origan séché et arrosez avec 2 cuillères à soupe d'huile d'olive. Faites cuire environ 30 minutes au four.

Pendant ce temps, ouvrez la boite de pois chiches, rincez-les longuement dans une passoire et laissez-les s'égouter. Lavez puis émincez finement les poireaux. Versez le reste d'huile d'olive dans une grande casserole, mettez-y les poireaux à étuver doucement pendant 5 minutes.

Ajoutez la tablette de concentré de légumes dans la casserole avec 1 litre d'eau. Salez, poivrez et portez doucement à ébullition.

Quand les tomates sont bien cuites, retirez-en la peau avec une fourchette, puis écrasez-les grossièrement. Ajoutez les ainsi que le jus de cuisson dans la casserole. Incorporez ensuite les pois chiches et le concentré de tomate. Mélangez, rectifiez l'assaisonnement et à la reprise de l'ébulliton, laissez cuire doucement pendant 15 minutes.

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